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 TOURNOI VI NATIONS 2006

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MessageSujet: TOURNOI VI NATIONS 2006   TOURNOI VI NATIONS 2006 Icon_minitimeDim 5 Fév 2006 - 22:47

Douchés d'entrée !

Contre toute attente, le XV de France, très décevant, s'est incliné en Ecosse dimanche (20-16) pour son entrée dans le Tournoi 2006. Les Bleus n'avaient plus perdu à Murrayfield depuis 1996. Il n'est donc déjà plus question de Grand Chelem et Bernard Laporte va avoir du boulot...


ECOSSE - FRANCE: 20-16

Pour une surprise, c'en est une. Mais pas une bonne. Plein d'envie et d'ambition, le XV de France abordait le Tournoi 2006 affublé de l'étiquette du grand favori. Au vu de son calendrier, chacun lui prédisait à tout le moins la victoire finale, et pourquoi pas le Grand Chelem. En un match, un seul, les Bleus ont déjà compromis largement leurs chances de succéder au pays de Galles, avec une défaite totalement inattendue en Ecosse. Une bonne grosse gifle, d'autant plus douloureuse qu'elle est amplement méritée. Inconsistants pendant 50 minutes, les Français n'ont eu que ce qu'ils méritaient. Il aurait fallu plus qu'un réveil trop tardif pour sauver les meubles et la patrie avec.

Toute la semaine, Bernard Laporte avait pourtant prévenu ses hommes. Le souvenir de la très pénible victoire du Stade de France, il y a un an jour pour jour, également en ouverture du Tournoi, avait éveillé ses soupçons. Le sélectionneur tricolore sait aussi que par nature et par tradition, le rugby français n'est jamais aussi vulnérable que lorsque la victoire lui est médiatiquement promise. Invaincus à Murrayfield depuis dix ans, les coéquipiers de Fabien Pelous ont peut-être, au moins inconsciemment, cru qu'ils franchiraient l'obstacle sans trop de problèmes.

Doublé de Lamont

Erreur. Grave erreur, car le XV au chardon a déboulé sur la pelouse dotée d'une envie et d'une agressivité largement supérieures à celles de son adversaire. Après dix minutes de jeu, les intentions écossaises trouvèrent une première récompense sous la forme d'un essai initié par une charge du capitaine Jason White et finalement inscrit sous les barres par Scott Lamont, que la défense française avait simplement oublié de plaquer (7-0, 10e). 20 minutes et deux pénalités de Chris Paterson plus tard, les Bleus se retrouvaient avec un handicap de treize points à surmonter (13-0, 30e). Pas vraiment ce qui était prévu.

Fébriles, hésitants, maladroits et empruntés, ces Français-là étaient à des années lumières du groupe conquérant qui avait fait plier en novembre l'Australie et l'Afrique du Sud. Trois points d'Elissalde avant la pause ouvraient bien le compteur bleu, mais sans vraiment régler le problème. Et au lieu de la réaction attendue, le début du deuxième acte débouchait sur un deuxième essai écossais, à nouveau signé Sean Lamont, à la conclusion d'un déroulé d'école des avants. 20-3 après 45 minutes de jeu, il fallait se pincer pour y croire. Le spectre de la plus lourde défaite française face à l'Ecosse (31-9 en 1912) commençait à pointer le bout du nez.

Trop peu, trop tard

La généreuse Ecosse avait toutefois mangé son pain blanc. Le reste du match fut à l'avantage des hommes de Laporte. Sans devenir brillante, elle n'en était d'ailleurs pas capable aujourd'hui, la bande à Fabien Pelous allait recoller peu à peu. Placé inhabituellement en bout de la ligne d'attaque, Julien Bonnaire sonnait la révolte en allant à l'essai (20-8, 50e). A l'heure de jeu, Paterson manquait ensuite une pénalité facile. Presque dans la même situation, Elissalde trouvait la mire. Plus que neuf points (20-11, 61e). Il restait alors suffisamment de temps pour réussir le hold up. Mais à force de tomber des ballons et de se tromper dans leurs choix, les Bleus n'allaient pas revenir.

Les rentrées de Thomas Lièvremont et Sébastien Bruno donnèrent pourtant un peu plus d'allant au jeu tricolore. A cinq minutes de la fin, le premier raffûtait avant de servir le second dans l'intervalle. Le talonneur de Sale trouvait la terre promise (20-16, 76e). Trop peu, trop tard. Depuis deux ans, la France avait gagné neuf matches sur dix dans le Tournoi, soit exactement le bilan opposé à celui de l'Ecosse. C'est dire l'ampleur de la claque. Le chardon avait plus d'épines que prévu... La semaine promet en tout cas d'être animée à Marcoussis. Bernard Laporte va devoir trouver les mots et les maux pour remettre tout le monde sur le bon chemin.




ANALYSE d apres match

Laporte : "On manque de sérénité"


TOURNOI VI NATIONS 2006 A26xy

L'entraîneur des Bleus Bernard Laporte "cherche à comprendre ce qui a marché ou pas" à Murrayfield dimanche lors de la défaite contre l'Ecosse. Afin de bien préparer le deuxième match du Tournoi des six nations face à l'Irlande, samedi au Stade de France.



BERNARD LAPORTE, avec le recul, comment analysez-vous cette défaite en Ecosse?

B.L. : "On a perdu trop de ballons sur des choses simples, alors qu'il aurait fallu le tenir. On leur donne dix points en début de match, sur un essai transformé et une pénalité, et là, on s'est fragilisé. Ensuite, on a subi sur les impacts, on a été moins bons dans la zone de plaquage, et je ne parle pas de l'occupation du terrain par le jeu au pied! Ensuite, je redis que nous avons produit l'une de nos secondes périodes les plus riches, en tenant parfois le ballon sur huit ou neuf temps de jeu."

Comment expliquez-vous que le jeu du XV de France se soit ainsi délité?

B.L. : "On s'est fragilisé nous-mêmes, on est sorti nous-mêmes du match! On s'est mis derrière au score, et puis on a commis des fautes, des en-avant et on a pris des points. Il nous a manqué une certaine forme de sérénité. C'est ce qu'on recherche dans ces moments-là. Sans faire injure à son remplaçant Ludovic Valbon, si Yannick Jauzion avait été là, cela ne serait peut-être pas arrivé. Il y a des grands joueurs qui apportent une certaine forme de sérénité. Et les grandes équipes sont constituées de joueurs qui apportent une plus-value."

Pourquoi avoir élargi le groupe à six joueurs supplémentaires pour préparer le match face à l'Irlande?

B.L. : "D'abord parce que l'on ne peut pas dire aux joueurs qui ont été bons en novembre qu'ils ne sont plus bons à rien. J'aurais aimé qu'on élargisse le groupe, même si nous avions gagné en Ecosse. Cela permet de savoir où en sont les joueurs que nous appelons, et dont certains ont été récemment blessés. Cela permet aussi d'impliquer le maximum de joueurs dans cette équipe. Il ne s'agit pas de mettre la pression sur les joueurs. L'équipe de France concerne plus de quarante joueurs."



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