le rendez vous des potes du web
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
le rendez vous des potes du web


 
AccueilAccueil  PortailPortail  GalerieGalerie  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -39%
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON ...
Voir le deal
1190 €

 

 RUBGY disparition d un grand nom

Aller en bas 
AuteurMessage
baloo47800
Administrateur
Administrateur
baloo47800


Masculin
Nombre de messages : 917
Age : 56
Localisation : miramont de guyenne
config de votre pc : zen et cool
Votre prénom : michel
Date d'inscription : 27/10/2005

FDP
points de participation: Non-Indiqué
point de vie:
RUBGY disparition d un grand nom Left_bar_bleue100/100RUBGY disparition d un grand nom Empty_bar_bleue  (100/100)

RUBGY disparition d un grand nom Empty
MessageSujet: RUBGY disparition d un grand nom   RUBGY disparition d un grand nom Icon_minitimeDim 18 Déc 2005 - 15:46

RUBGY disparition d un grand nom 171205fouroux2hk
Décès de Jacques Fouroux


que j ai eu rencontre parmi d autres grand nom du rubgy
quand on n a la chance d etre né sur le terroir du rugby



L'ancien capitaine puis entraîneur de l'équipe de France Jacques Fouroux est décédé samedi soir d'une crise cardiaque à Auch à l'âge de 58 ans, a annoncé à l'AFP Philippe Martin, député et président du conseil général du Gers. «Jacques Fouroux a fait un malaise cardiaque autour de 21h30 et il est décédé à 22h20 chez lui, à Auch, où il était revenu» après avoir été licencié le 4 novembre par le club italien de L'Aquila, a déclaré M. Martin.

«Il avait assisté à son dernier match samedi dernier entre Auch et le Stade Bordelais», en Championnat de Pro D2, a précisé M. Martin. Jacques Fouroux, surnommé «le petit caporal», avait été entraîneur de l'équipe de France de 1981 à 1990. Un de ses proches l'avait rencontré vendredi soir «en pleine forme et prêt à rebondir pour un nouveau contrat de six mois dans le monde du rugby, pour une destination sur laquelle il restait encore discret.» Il avait pourtant connu une première alerte de santé il y a deux ans environ et avait dû être opéré en urgence pour une péritonite.

Durant sa carrière de joueur au poste de demi de mêlée, Fouroux a joué successivement à Auch, Cognac et La Voulte puis a été entraîneur de Grenoble, notamment finaliste du Championnat de France en 1993. Il a porté 28 fois le maillot de l'équipe de France (1972-77), avec laquelle il a notamment réussi un historique Grand Chelem dans le Tournoi des cinq nations en 1977, avec le grade de capitaine, avant d'en prendre la direction pendant neuf ans, de 1981 à 1990.

Polémiques
Il porta le XV de France vers un nouveau Grand Chelem en 1987. Et vers la finale de la première Coupe du monde perdue face aux All Blacks, une semaine après une demi-finale de légende gagnée face aux Wallabies australiens, au bout d'un essai inscrit par Serge Blanco. Fasciné par les grands et les gros, Jacques Fouroux suscita quelques grandes polémiques dans le rugby français, lorsqu'il privilégia l'option des joueurs «technico-physiques» aux créateurs.

Obnubilé par le combat, il avait fait de la mêlée sa grande spécialité, au point de s'inspirer de la fameuse «bajadita» argentine. Homme de convictions, Jacques Fouroux passait des heures, la nuit au coin d'un bar, à convaincre les Cassandre du bien fondé de son approche. Démissionnaire de son poste d'entraîneur du XV de France en août 1990, quelques mois après une pitoyable défaite face à la Roumanie à Auch, sa ville d'origine, Jacques Fouroux se tourna vers le rugby des clubs, après avoir été écarté du pouvoir à la Fédération française de rugby lors de la crise de 1991.

Une fin de carrière en queue de poisson
A Grenoble, il trouva un club et des hommes à la hauteur de ses aspirations. Il battit un «pack de mammouths» pour conduire le FC Grenoble en finale du Championnat de France 1993, qui se solda par une défaite face à Castres dans des conditions rocambolesques. Convaincu d'avoir été volé, spolié du titre par le pouvoir fédéral, Jacques Fouroux se tourna vers d'autres aventures. Il mena l'éphémère expérience du rugby à XIII professionnel à Paris, avec le PSG. Puis fit un crochet au Racing Club de France pour renouer avec le rugby à XV.

Durant la dernière intersaison, Jacques Fouroux signa même un contrat d'entraîneur avec Grenoble, relégué en Pro D2. Mais quelques jours plus tard, le club, relégué en Fédérale 1 pour raisons financières, déposa le bilan et le «Petit Caporal» se retrouva au bord de la route. Finalement, il aboutit à L'Aquila, en Italie. Pour une dernière expérience, qui s'acheva sur un divorce, fin octobre... Triste épilogue d'une carrière pleine de passion.



Les réactions



Daniel Dubroca (capitaine de l'équipe de France entraînée par Jacques Fouroux, finaliste de la Coupe du monde 1987): «C'est un grand monsieur qui s'en va. C'était une personne excessive et très attachante. Il aura marqué l'histoire du rugby français. Je suis particulièrement ému. C'est une personne que j'aimais beaucoup côtoyer et que j'avais toujours plaisir à retrouver avec la grande famille des Barbarians.»

Bernard Laporte (entraîneur du XV de France): «C'est quelqu'un que j'aimais beaucoup, qui ne laissait pas indifférent. Je l'aimais profondément. Les premiers souvenirs c'est quand il jouait. Puis je me souviens que je l'avais fait venir quand j'entraînais le Stade Bordelais. En dehors de sa conception du jeu, ce que je retiens c'est l'homme, quelqu'un de marrant, d'enthousiaste. Je l'avais vu dernièrement. C'est sûr qu'il s'ennuyait un peu parce qu'il avait perdu le contact avec le terrain. Mais il avait vraiment gardé la flamme. Mourir à 58 comme ça, c'est fou.»

Bernard Lapasset (président de la Fédération française) : «Je suis effondré. Jacques Fouroux était une personnalité comme le rugby sait en fabriquer. Il était hors normes, excessif, passionné, entièremment tourné vers le rugby. Je retiens avant tout l'image du joueur et du capitaine d'un Grand Chelem historique en 1977, où il avait montré son savoir-faire de meneur d'hommes pour une performance historique, qui fait encore référence presque trente ans après. Je me souviens aussi de la Coupe du monde 1987, au cours de laquelle, en tant qu'entraîneur, il avait mené le XV de France à la victoire face à l'Australie en demi-finale lors de l'un des plus beaux matches de l'histoire du rugby français et même mondial. Ensuite, son tempérament excessif l'avait conduit dans le jeu politique des dirigeants, où il était moins à l'aise. C'est à ce moment-là que nous nous sommes parfois heurtés. Mais aujourd'hui, je retiens le meilleur, l'image d'un homme qui a marqué sa génération.»

Jo Maso (manager du XV de France) : «J'avais une relation particulière avec Jacques Fouroux, parce qu'il aurait dû fêter sa première sélection avec moi comme demi d'ouverture en 1968. Mais vu que j'avais déclaré forfait pour un match face à l'Irlande, lui aussi avait été écarté de l'équipe. Du coup il avait attendu jusqu'en 1972 pour fêter sa première sélection. Il y a toujours eu beaucoup de respect entre nous même si parfois il pouvait être agaçant. Nous nous étions retrouvés au mois d'octobre à Lyon. Il y avait également Pierre Villepreux et bien d'autres personnes. A cette occasion, il avait dit qu'il se trouvait avec ses meilleurs ennemis. On avait passé une soirée formidable, comme à chaque fois avec lui. On avait beaucoup rigolé. Je suis vraiment très chagriné par sa disparition.»

Pascal Ondarts (ancien pilier du XV de France, 43 sélections de 1986 à 1992) : «C'était un grand meneur d'hommes. Il y avait peut-être 30 entraîneurs meilleurs que lui techniquement, mais pas un seul meneur d'hommes comme lui. C'était un extra-terrestre. Il savait trouver les mots justes pour chacun, il connaissait ses joueurs par coeur, leurs points forts, leurs points faibles. Avec sa cérémonie de remise des maillots, j'ai vécu mes plus grandes préparations d'avant-match, sans quitter les vestiaires pour s'échauffer, rien qu'avec ses mots ! Il pouvait être excessif dans la rigueur, très dur, mais il était aussi excessivement sensible. Drôle mais cachant une sensibilité, une souffrance. C'est le rugby qui le faisait vivre, c'est peut-être le rugby qui l'a tué. Il avait été très éprouvé par ses récents échecs, à Grenoble puis son éviction d'Italie. Il n'y avait que le terrain qui l'intéressait. Il avait une idée toutes les minutes, pas forcément des idées qui se mariaient avec celles des autres, et il en oubliait ce qu'il savait en fait faire le mieux. J'étais encore avec lui lundi, je suis très touché, je l'aimais beaucoup.»

Jean-Pierre Garuet (ancien pilier du XV de France) : «Jacques, tout d'abord c'est l'ami. C'était notre mentor. C'était et c'est toujours un grand monsieur du rugby. Il était un homme petit par la taille et grand par son talent. Avant tout, je voudrais garder cet ami. Jacques c'est le gars qui a fait se transcender des gens du fin fond de la France. Il avait cette qualité de faire des gens communs des gens hors du commun au travers de l'esprit du rugby.»

Guy Novès (manageur du Stade Toulousain) : «Je suis tout d'abord abasourdi, je ne m'attendais absolument pas à ce que soit l'heure qu'il parte. J'ai le souvenir d'un grand leader qui a marqué de son empreinte le rugby des années 80. J'ai joué avec lui en 1977-78 en équipe de France, j'étais là lors du match à Clermont-Ferrand (France-Roumanie, 10 décembre 1977) où il avait arrêté en équipe de France.»

Jean-François Lamour (ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative) : «C'est avec beaucoup de tristesse que j'ai appris la nouvelle du décès de Jacques Fouroux. Je m'associe à l'hommage que lui rend à cet instant la famille du rugby français. Jacques Fouroux, comme capitaine puis comme sélectionneur du XV de France, a écrit parmi les plus belles pages de l'histoire du rugby, en inscrivant à son palmarès trois Grands Chelems et une finale de la Coupe du monde de rugby. On gardera en mémoire son courage et son charisme sur le terrain avec lesquels il transcendait son équipe. A sa famille, j'adresse mes plus sincères condoléances dans ces circonstances douloureuses.»

Philippe Dintrans (talonneur et ancien capitaine du XV de France) : «C'était un homme hyper pressé, hyper actif pour le rugby. C'est sa vie. Il ne pouvait pas faire autrement. Il n'y a pas longtemps, on était quelques uns avec Spanghero (Walter), Boni (André Boniface), Blanco (Serge), il voulait repartir à la bataille pour reconquérir la fédé (FFR). C'était un excellent meneur d'hommes. Il savait transcender les gens. Il se mettait à nu devant la presse cela l'obligeait ensuite à prendre le contre-pied. Cela lui a joué des tours. Jacques c'était un type pressé qui avait toujours 10.000 idées en tête. Il aurait mieux valu qu'il n'en ait qu'une et qu'il la mène au bout parce que c'était un précurseur à la fois comme entraîneur et comme organisateur. Il était en avance sur son temps.»

Henri Fourès (sélectionneur et manageur de l'équipe de France entraînée par Jacques Fouroux) : «C'était un passionné qui ne vivait que pour sa discipline. Je suis tellement surpris par cette triste nouvelle. Nous avions toujours de bons rapports, je perds un petit frère. J'ai été sélectionneur avec lui: c'était l'homme de tous les défis. La décennie 80, on la lui doit.»

Jean-Michel Aguirre (ancien arrière du XV de France, Grand Chelem 77) : «C'était un grand caractère. C'était un grand personnage du rugby français. C'est un monstre sacré qui disparaît. Il y a peu de gens dans le rugby qui laisseront une trace comme lui dans notre sport. Il était toujours dans les excès, que ce soit dans l'amitié ou dans la haine, dans la colère, dans la joie dans l'enthousiasme. Il était toujours dans ses chimères. C'était un homme de certitude et de conviction. Je ne réalise pas qu'il soit mort. C'est pas réalisable d'ailleurs.»

Jean-Pierre Bastiat (ancien N.8 du XV de France, Grand Chelem 77) : «Jacques Fouroux, c'était un homme de fer. Il était ce d'Artagnan du rugby qui a marqué ce sport du fer rouge ou de la pierre blanche selon les circonstances. C'était un contradicteur permanent. Un homme de conviction, d'amitié sincère. C'était un joueur exceptionnel on l'a vu par ses résultats et comme entraîneur il a été encore plus fort. Le monde politique du rugby aurait été bien inspiré de l'écouter. C'était un visionnaire, il avait raison avant les autres.»

Fernand Soubie (ancien vice-président de la fédération française de rugby à XIII et président de Saint-Gaudens XIII) : «Il était un peu sur la touche de la fédération à XV quand on s'est rencontré (en 1995). C'était un garçon qui avait des qualités, beaucoup d'ambitions, qui voulait porter le rugby à XIII plus haut qu'il n'était. Il avait été conquis par le rugby à XIII australien, séduit par ce haut niveau. Il avait beaucoup de relations mais quand il est venu chez nous, les portes ne se sont pas ouvertes en grand comme il l'espérait, les sponsors qui donnaient au XV ne l'ont pas suivi. Il aurait ambitionné un poste plus important au sein de notre fédération. Peut-être qu'on n'a pas su lui donner toute l'autorité qu'il aurait voulu. Avec lui, avec ses initiatives comme la Coupe des provinces, on avait rempli les stades.»

Jean-Pierre Rives (ancien capitaine, troisième ligne aile du XV de France, Grand Chelem 77) : «C'est une peine immense pour tous. Je pense à sa famille, à ses amis. Jacques, c'était un frère de jeu. Un petit frère, un grand frère c'était selon. Je lui ai parlé il y a deux jours. Eric Champ l'avait pris à Toulon, il était heureux. C'est affreux. Je pense aussi à Robert (Paparemborde) et je me dis que cela a été un peu tôt pour eux. C'est affreux».

Abdelatif Benazzi (ancien capitaine du XV de France, 68 sélections, lancé par Jacques Fouroux) : «Je suis profondément attristé. C'est lui qui m'a lancé dans le grand bain international, qui m'a mis le pied à l'étrier. La tournée en Australie, cette première sélection, je lui dois énormément. J'avais beaucoup d'affection pour ce personnage hors du commun. C'était un vrai passionné, une grande gueule, un homme avec ses excès mais aussi avec de vraies valeurs. Le voir partir comme cela, seul dans son coin, me révolte. Je crois qu'il avait encore son mot à dire dans le paysage du rugby français. C'est un grand monsieur qui est parti, il va nous manquer.»

Walter Spanghero (ancien capitaine de l'équipe de France) : «Je n'imaginais pas entendre cette nouvelle en m'éveillant ce dimanche, j'ai beaucoup de peine, même si nous avons eu quelques différends d'ordre sportif, vite effacés. Nous étions ensemble lundi dernier sur la côte basque pour une soirée télévisée d'Arte sur l'histoire des matches France-Angleterre. Nous avons évoqué beaucoup de souvenirs: j'avais été son capitaine lors de la tournée en Australie en 1972. Nous lui avons conseillé de ne pas relancer la guerre avec la Fédération, mais pour lui c'était une injustice que les anciens internationaux ne soient pas engagés auprès de la Fédération pour les grands événements comme la Coupe du monde. Jacques Fouroux, c'était une idée par jour. Quand il a tenté de devenir président de la FFR, je pense qu'il a été mal conseillé, mais Jacques aimait toujours ferrailler.»


a la famille du rugby
Revenir en haut Aller en bas
http://painkakeland.superforum.fr/index.forum
baloo47800
Administrateur
Administrateur
baloo47800


Masculin
Nombre de messages : 917
Age : 56
Localisation : miramont de guyenne
config de votre pc : zen et cool
Votre prénom : michel
Date d'inscription : 27/10/2005

FDP
points de participation: Non-Indiqué
point de vie:
RUBGY disparition d un grand nom Left_bar_bleue100/100RUBGY disparition d un grand nom Empty_bar_bleue  (100/100)

RUBGY disparition d un grand nom Empty
MessageSujet: Rugby - Disparition   RUBGY disparition d un grand nom Icon_minitimeJeu 22 Déc 2005 - 20:13

RUBGY disparition d un grand nom Fourouxop21128fr
L'adieu à Fouroux


Cathédrale Sainte-Marie d'Auch, mercredi après-midi. Des dizaines de gerbes de fleurs signées de nombreux clubs reposaient au pied de la dépouille de Jacques Fouroux. L'ancien entraîneur des Bleus (1981-1990) est décédé samedi d'une crise cardiaque à l'âge de 58 ans. Près de 2000 personnes, dont plusieurs centaines du monde du rugby, sont venues assister à ses obsèques.

Toutes les générations du ballon ovale étaient représentées, des plus anciens comme Pierre Albaladejo jusqu'aux plus jeunes comme le trois-quarts centre du Stade Toulousain Yannick Jauzion. Etaient également présents Bernard Laporte, le sélectionneur du XV de France, Jo Maso et tous les anciens coéquipiers de Jacques Fouroux lors du Grand Chelem de 1977.

La dernière mi-temps
Les anciens internationaux Jean-Claude Skrela, Jean-Pierre Romeu, Jean-Luc Averous, Jean-Michel Aguirre, Dominique Harize et Alain Paco avaient porté le cercueil de l'ancien international dans la cathédrale. Tous arboraient la veste bleue des Barbarians, l'amicale créée par les joueurs après le Grand Chelem de 1977.

Les 1400 places de la cathédrale Sainte-Marie étaient toutes occupées. Près de l'autel, où devait officier l'abbé Albert Vigneaux, deux gerbes symbolisaient l'hommage de l'amicale des Barbarians et celui du ministère des Sports. Des photos de l'entraîneur avaient également été placées dans le choeur.

Le ministre Jean-François Lamour n'a pu se rendre dans la ville du Gers en raison du verglas qui a empêché son avion de se poser. Les camarades de Fouroux se sont retrouvés au Café de France pour l'utime troisième-mi-temps du rugbyman, un habitué des lieux.
Revenir en haut Aller en bas
http://painkakeland.superforum.fr/index.forum
 
RUBGY disparition d un grand nom
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Dakar - Disparition
» Un grand malheur
» grand prix du 2 AVRIL
» Petit Minou deviendra grand
» grand prix de BELGIQUE sur la selette

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
le rendez vous des potes du web :: Rugby-
Sauter vers: